au coeur de ton dine

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pleure mes péchés et jm'inquiète de comment jvais mourir Jm'incline et m'prosterne car jsais qu'un jour j'devrais partir Jm'attache à la Verité dans mon coeur règne l'Islam Et j'remercie chaque jour le Tout Puissant de m'avoir faite musulmane

vendredi 10 juin 2011

♥ Une belle histoire à lire ♥

Ali est un chef d’entreprise qui gagne très bien sa vie. C’est en 1990, à 22 ans qu’il crée sa première entreprise en profitant du boum informatique. Depuis, ses affaires se sont développées avec une vitesse vertigineuse et le voilà aujourd’hui propriétaire d’une dizaine de magasins dans toute la France. Il dépense sans compter pour ses trois enfants : Samy, Kenza et Abdallah avec lesquels il n’avait pas beaucoup de complicité. Il donnait même l’impression de les fuir surtout pour le plus jeune d’entre eux, Abdallah âgé de dix ans. Suite à un accident de voiture avec son père, Abdallah est frappé d’une invalidité totale permanente et souffre d’une maladie rare qui a atteint ses deux jambes et l’oblige à se déplacer en chaise roulante.

Un jour, alors qu’il avait du mal à dormir, Ali se lève vers 3h du matin. Il se dirigeait vers la cuisine pour prendre un verre d’eau lorsqu’il entendit un bruit dans la chambre d’Abdallah. Il s’approche de la porte pour voir si tout allait bien et involontairement, il entend son fils pleurer :

« Pourquoi je ne peux pas jouer au foot comme mon frère ? Pourquoi je ne peux pas nager ou faire du cheval comme ma sœur ? Pourquoi tu m’as choisi moi ? » Répétait Abdallah.

Ali était profondément bouleversé par ce qu’il vient de vivre et d’entendre. En un instant sa vie a basculé. Ce qui paraissait évident peu de temps avant, montre soudain sa fragilité, sa vanité. Il avait passé le reste de la nuit dans la cuisine à faire le compte de ses insuffisances.Au petit matin, les larmes aux yeux, Ali raconte à son épouse Leila les propos très durs qu’il venait d’entendre des lèvres de son propre fils.

« Il me pose souvent ces questions et je ne sais pas quoi lui répondre » lui dit Leila qui fond en larmes.

« Pourquoi tu ne me l’a pas dit ? » lui dit Ali.

« Tu étais tellement noyé dans ton travail que je ne voulais pas t’accabler encore plus » lui répondit-elle.

« Durant toute ces années, j’étais là, à coté de mon fils mais je n’ai rien su de ses douleurs, rien su de ses blessures.

Comment ai-je pu être si près et si loin ? »

Comment ai-je pu devenir si inattentif, si aveugle ? »

Comment ai-je autant manqué à mes responsabilités de père ? » disait Ali à Leila.

Il était meurtri, le cœur brisé par tant de larmes, tant de doutes, et tant de silences. Pendant longtemps, il se parlait tout seul car il avait besoin de s’entendre. Il ne savait pas ce qu’il pouvait ni ce qu’il voulait faire tant la tâche paraissait énorme et si impossible. Il avait besoin de parler de ses angoisses, partager ses douleurs, confier son désarroi, livrer ses détresses, ouvrir son cœur mais à qui ?

Dans l’après midi, Ali était dans sa voiture, perdu dans ses pensées et ses désillusions quand il entendit l’appel à la prière dans la radio. D’habitude, il n’y prêtait aucune attention mais cette fois-ci, il se sentait littéralement transporté par le chant du Muezzin. Arrivé dans son bureau, Ali se procure le numéro de téléphone de la mosquée à côté de laquelle il passait au moins deux fois par jour. Il voulait parler à l’imam, cheikh Ahmed très respecté dans la ville et qu’il a souvent croisé dans le marché.

« Assalamou Alaykoum cheikh, j’ai besoin de vous voir » lui dit-il au téléphone. Il lui raconte brièvement son histoire et lui demande un rendez vous.

« Tu peux venir à la prière de vendredi » lui dit l’imam.

« Je ne fais pas la prière » répond Ali, très gêné.

« Tu pourras quand même venir et on discutera après la prière » insiste l’imam.

« J’y serais Inchâ’Allah » concède Ali.

Ce vendredi, Ali était parmi les premiers fidèles à venir à la mosquée. Cheikh Ahmed vêtu d’une grande Djellaba blanche comme le veut la tradition, quitte son bureau, s’installe sur le minbar (chaire) et commence son prêche :

« Le chemin de la Foi est une épreuve, l’amour en Dieu est une épreuve, vivre pour Dieu, vivre au milieu de notre communauté, faire des choix sont autant d’épreuves de la vie. Dieu dit :

« Il a créé la mort et la vie pour vous mettre à l’épreuve afin de savoir celui parmi vous qui agira le mieux, Et c’est Lui le Puissant, le Tout Pardonnant » (Coran 67 : 2 ).

Si dans nos propres consciences, la vie précède la mort, dans ce verset Dieu cite la mort avant la vie car la conscience de la mort est sans aucun doute la première épreuve de la vie. Toutes les religions s’accordent à dire que la vie est une épreuve, parfois même une souffrance.

Aimer un être cher est une épreuve. Au moment ou vous rencontrez cet amour, si vous avez conscience du temps qui passe, vous savez qu’un jour il va partir, avant vous ou après vous. Et cela en soit, c’est une terrible souffrance.

Avoir des enfants est un cadeau du ciel, mais c’est aussi une épreuve. Les larmes de vos enfants, leurs blessures intérieures, leurs peines, leurs tristesses et leurs échecs peuvent vous révolter et engendrer en vous une souffrance. Vous souffrez de leurs souffrances. Et cette souffrance sera d’autant plus insupportable qu’il vous est parfois impossible de les aider ou les accompagner dans leurs moments de peine et de tristesse. Ce face à face avec vos propres limites est une formidable école de l’humilité devant le Tout Puissant. Il vous rend humble. La souffrance c’est justement cette humilité, c’est-à-dire le fait de reconnaitre qu’on a mal et la dignité d’accepter ce mal, de faire preuve de patience et d’agir pour ne plus avoir mal quand cela est possible.

Quelle est le sens de la souffrance en islam ?

Le sens de la souffrance ne peut exister indépendamment de celui qui souffre. Et à défaut de trouver un sens à sa souffrance, il devra chercher à donner un sens à sa vie, malgré les peines et les tristesses qu’y fait pénétrer cette souffrance qui le submerge. Dieu dit :

« … Mais il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose qui constitue pourtant un bien pour vous ; et il se peut que vous chérissiez une autre, alors qu’elle constitue un mal pour vous. Dieu le sait mais vous ne le savez pas » (Coran 216 : 2).

Il y a des malades par exemple, qui témoignent que leur maladie a été une bénédiction pour eux. Ils ont pris conscience de certaines choses qu’ils ne percevaient pas étant bien portants. Pour d’autres, la perte brutale d’un être cher, le licenciement ou la faillite a constitué un tournant majeur dans leur vie. Plongé dans un état de désespérance au départ, ils ont pu s’en sortir au prix d’un inlassable effort, du plus noble de tous les jihads : le jihad intérieur, le jihad du cœur. Leurs blessures profondes ont réveillé leurs cœurs et leurs ont permis de renouer avec Dieu ».

A la fin de la prière, Ali ému, les yeux mouillés vient saluer l’imam et lui dit : « Merci infiniment pour votre prêche. Vous m’avez beaucoup éclairé mais comment expliquer tout cela à un enfant de 10 ans ».

« Ce message était pour toi. Pour ton enfant, on verra » lui dit l’imam.

« Je vous serai très reconnaissant si vous pouviez venir le voir à la maison »

« Je pourrai venir ce samedi vers 16h Inchâ’Allah » lui dit l’imam.

Ali et son épouse attendaient l’arrivée de l’imam comme le Messie. « Que va-t-il bien dire à Abdallah ? Comment va-t-il lui expliquer ce qui relève de l’inexplicable ? » se disaient-ils. Ils attendaient tous les deux avec impatience ce face à face entre l’imam et le petit garçon.

Samedi vers 16 h, l’imam est chaleureusement accueilli par Ali et Leila. Après lui avoir offert un thé, ils lui présentent leurs enfants Samy, Kenza et Abdallah cloué dans sa chaise roulante. « C’est toi Abdallah ? Ton père m’a beaucoup parlé de toi » lui dit l’imam et ouvre une discussion avec lui.

« Tu sais que ton papa t’aime beaucoup ? » lui dit-il. Abdallah lance un grand sourire à son père et dit à l’imam : « Oui je le sais. Moi aussi je l’aime autant ».

« Est-ce qu’il lui arrive de te forcer à faire des choses que tu détestes ? » dit l’imam.

« Parfois » réponds Abdallah un peu vexé.

« Comme quoi par exemple ? » poursuit l’imam.

« Faire mes devoirs le soir, m’obliger à prendre mes médicaments ou à manger les haricots verts, je n’aime pas les haricots verts ! » répond Abdallah.

« Est-ce que tu peux me dire pourquoi ton papa qui t’aime te force à faire des choses que tu n’aimes pas ? » dit l’imam.

Abdallah regarde son père à nouveau, lui lance un grand sourire et répond : « c’est parce qu’il m’aime, qu’il pense à moi et qu’il me veut du bien »

« Dis moi Abdallah, tu crois en Dieu n’est ce pas ? » dit l’imam. « Oui et je connais par cœur pleins de sourates du Coran » réponds Abdallah.

« Est-ce que tu peux me réciter sourate la Fatiha (l’ouverture) ? » dit l’imam. Abdallah s’exécute puis l’imam reprend la discussion : « Est-ce que tu penses que Dieu t’aime ? »

Abdallah reste silencieux un moment puis il dit : « Je ne suis pas sûr, je ne sais pas. »

« Pourquoi, explique-moi ? » dit l’imam.

« En fait, je n’arrive pas à comprendre pourquoi je ne peux pas jouer au foot, pratiquer la natation ou faire du cheval comme mon frère ou ma sœur et tous les autres enfants. Pourquoi Dieu permet-il cette souffrance ? Pourquoi m’a t-Il choisi moi et pas les autres ? » dit Abdallah les yeux mouillés.

« Tout à l’heure, tu m’as bien dis que si ton père te forçait à faire des choses que tu détestais, c’est par amour pour toi ? » dit l’imam.

« Oui » répond Abdallah.

« Si Dieu t’a choisi toi, c’est parce qu’Il t’Aime plus que les autres enfants » dit l’imam.

« Ah bon ! Vous êtes sûr de ce que vous dites ? » Répond Abdallah.

« Bien sûr. Et si tu auras la force et le courage de supporter cette situation qui t’empêche de jouer comme les autres aujourd’hui car c’est Dieu qui l’a voulu, alors tu vas rentrer au paradis avant tous les autres enfants le jour du jugement dernier » dit l’imam.

« C’est vrai ce que dit l’imam papa, c’est vrai ? » dit Abdallah à son père, ravi que son fils arrive à discuter si profondément avec l’imam, qui poursuit son raisonnement.

« Écoute-moi Abdallah. Si aujourd’hui, tu ne peux pas jouer au foot ou faire du cheval. Au paradis, tu auras accès à des jeux auxquels aucun de tes copains, ni ton frère ni ta sœur, n’aura droit. Ce sera réservé à toi et rien qu’à toi. Les autres enfants pourront te voir jouer sans jamais pouvoir y participer » dit l’imam.

« C’est vrai papa, c’est vrai ce que dit l’imam » dit Abdallah émerveillé.

L’idée de pouvoir un jour jouer, et que des jeux lui soit exclusivement réservé a séduit Abdallah. Elle lui a permis de mieux accepter son handicap. Il réfléchit un peu, puis demande à l’imam : « Je pourrai quand même laisser mon frère et ma sœur jouer avec moi au paradis ? Ce n’est pas très drôle de jouer tout seul ». L’imam sourit et lui dit : « ce sera à toi de décider. Tes copains pourront également jouer avec toi si tu le veux ».

Quelques années plus tard, Ali devait faire face à de grandes difficultés financières. Avec la concurrence et la crise économique, il était obligé de licencier la majorité de ses salariés et procéder à la fermeture d’un grand nombre de ses magasins. Un soir, alors qu’il était dans son bureau en train de faire et refaire les comptes, il s’aperçoit que les chiffres ne sont pas du tout bons. Peu à peu, sa combativité s’atténue, le pessimisme s’installe et il décide de tout lâcher : « je n’en peux plus. Je n’ai plus la force de résister, c’est trop dur, j’abandonne, je vais déposer le bilan » conclut il.

Vers minuit alors qu’il s’apprêtait à aller dormir, Il s’aperçoit que la lumière de la chambre de Abdallah était allumée.

« Tu ne dors pas encore ? » dit-il à Abdallah.

« J’ai du mal à trouver le sommeil cette nuit. Et de toute façon, je voulais discuter avec toi » dit Abdallah.

« Tu veux me parler de quoi mon fils » dit Ali.

« Je sais que tu traverses des moments difficiles dans ton travail. Je sais aussi que tu dois prendre des décisions importantes qui auront un impact sur ta famille. Tu te rappelles de la discussion que nous avions eu avec l’imam Ahmed il y a quelques années ».

« Oui » répond Ali.

« Est-ce que tu crois en Dieu papa ? »

« Bien sûr mon fils »

« Est-ce que tu lui fais confiance »

« J’essaye toujours de lui faire confiance et Il me le rend bien » dit le père.

« Tu sais qu’il n y a de force et de puissance qu’en Lui. Il décide de tout. C’est Lui qui a le pouvoir de donner ou enlever la richesse. Tout ce qu’Il décide est juste et vrai même si parfois nous avons du mal à comprendre le sens de ce qu’Il décide. « Il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose qui constitue pourtant un bien pour vous » nous dit-Il dans le coran. Il faut apprendre à dialoguer avec Lui. Ouvre Lui ton cœur, discute avec Lui, confie toi à Lui et demande Lui de t’aider, tu le trouveras toujours à tes côtés ».

« Quelque soit la décision que tu prendras pour ton travail, saches que nous t’aimons tous très fort, que nous sommes fiers de toi car nous savons que tu vas te battre jusqu’au bout. Et avec l’aide du Tout Puissant tu t’en sortiras… Inchâ’Allah papa ».

« Où est-ce que tu as appris tout cela ? » lui dit Ali.

« A chaque fois que c’est possible, j’accompagne maman à la mosquée pour assister à la prière du vendredi et le prêche de Cheikh Ahmed. J’ai appris beaucoup de choses » dit Abdallah.

« Viens ici toi » lui dit son père. Ali embrasse Abdallah, le serre très fort et lui murmure à l’oreille : « je ne cesserais jamais de remercier Dieu de m’avoir donné un enfant comme toi. Je t’aime ».

L’islam ne fait pas la promotion de la souffrance. Il ne suffit pas de souffrir pour croire. En revanche, pour celui qui souffre, le fait de croire peut s’avérer un soutien de taille pour affronter ses peurs, ses peines, ses tristesses et ses angoisses. La souffrance n’est pas non plus en islam un concept qui renvoie celui qui souffre à une faute qu’il aurait commise. Il s’agit pour celui qui souffre de se remettre totalement en confiance à Dieu, et d’agir pour mettre fin à sa souffrance.

En l’espace de quelques années, Ali a du faire face à deux terribles épreuves : la maladie de son fils qui a engendré en lui une souffrance due surtout à son impuissance à lui venir en aide et la faillite de son entreprise et son désir de tout abandonner. A chaque fois, il a su trouver au fond de lui-même la force de résister et d’agir pour y faire face. Cela n’a pas été facile et le fait d’avoir renoué avec Dieu l’a beaucoup aidé. Le courage de son fils Abdallah, le fait qu’il ait accepté son handicap avec résignation, son intelligence et son amour lui ont permis de tirer profit de sa souffrance devenue pour lui, une occasion de renouvellement personnel. Toute personne ayant éprouvé un tel séisme de douleur, de blessures et de détresses intérieures ne sera plus jamais la même face à quelqu’un dans la peine.

lundi 6 juin 2011

la salat

Salam 3alaykom  
 
 
la salat
La prière est ce qui nous différencie des non-croyants.
Nous nous prétendons être musulmans, littéralement: soumis, soumis à qui? Soumis à notre Seigneur Tout-Puissant et non pas soumis à nos tentations. 
Viendra un jour où l'ange de la mort viendra retirer notre âme...

Pour nous alors aucun retour en arrière!! 
Ce que Dieu a décrété, nul ne peut le changer, ton destin a été écrit alors que dans le ventre de ta maman, d'à peine 4 mois tu étais âgé! Dieu demanda à l'ange responsable de l'utérus de ta maman, de lui insuffler 3 choses: ton rizq, autrement dit ce qui te sera destiné comme subsistance, tes actions bonnes ou mauvaises, ta vie heureuse ou malheureuse et la date de ta mort. 
SOBHANALLAH! 

La prière est fardeau pour celui qui la néglige et une miséricorde pour celui qui la préserve. 
Sais-tu combien de kheir, de bien, la prière renferme??
Chaque inclinaison et prosternation ne sont que bénéfiques pour toi!
Rien de plus beau et de plus noble que de prier Le Créateur de toute chose et de Le remercier! 
Soyez-en sûr! Les prières canoniques, obligatoires ont leur hassanat mais aussi les surérogatoires! Au troisième quart de la nuit, lorsque les créatures sont dans leur sommeil, Dieu descend au ciel le plus bas et attend qu'un serviteur lui demande et Dieu par Sa Rahma exauce ce qu'Il veut!  
Alors chères sœurs, chers frères, si vous devez prendre de moi un conseil, prenez-le!!! de grâce prenez le et envoyez ce mail à vos contacts afin qu'ils bénéficient également de la Rahma de Dieu.

Courez après les bonnes actions, et n'oublie jamais ceci: Aucune garantie pour le Paradis, je ne connais pas ma date de fin, mon front sur le sol je prie...
Elle est un rempart dans la tombe!! As-tu déjà pensé à la 1ère nuit que tu passeras dans ta tombe??? 
Seul(e), dans le noir, enseveli(e) sous terre, serré(e), questionné(e) par 2 anges.
Si tu es du nombre des gagnants (Incha Allah je te le souhaite) tu seras questionner par 2 anges au visage radieux.
Si par contre tu es du nombre des perdants attends-toi à ce que 2 anges aux regards foudroyants et aux visages inimaginables te questionnent.
Pense souvent à la mort, elle te remet en question...

Le Prophète (Paix et Salut de Dieu soit sur lui) a dit: 'Le premier devoir dont l'homme est appelé, est à rendre compte le jour de la Résurrection est la prière. Notre Seigneur auquel rien n'échappe, s'adressant aux anges leur dira: 'Voyez si la prière  de mon serviteur est parfaite.  Si elle l'est, inscrivez-la lui parfaite. Si mon serviteur a des nafls (prières surérogatoires. Si oui, comblez les imperfections par les nafls. Ainsi il en sera pour tous ses actes.'  rapporté par Abou Daoud

sourate 6 verset 125

sourate 6 verset 125Allah dit dans le Saint Coran : 
" Et puis, quiconque Dieu veut guider, Il lui ouvre la poitrine à l'Islam. Et quiconque Il veut égarer, Il rend sa poitrine étroite et gênée, comme s'il s'efforçait de monter au ciel. Ainsi Dieu inflige Sa punition à ceux qui ne croient pas. "
(6/125)

la foi parfaite

la foi parfaite
Notre Bien Aimé et Modèle de Piété ♥ L'Envoyé d'Allah (صلى الله عليه و سلم) ♥ disait : 
"La Foi Parfaite "« C'est adorer Allah comme si on Le voyait, 
car si vous ne Le voyez pas, Lui, certes, vous voit » 
(Sahih Al Boukhari vol 1 p 27 hadith n° 50)

samedi 21 mai 2011

ceux qui prient la nuit

On dit à Al-Hassan Al-Basri (qu'Allah lui fasse miséricorde) : -"Pourquoi ceux qui prient la nuit ont-ils les plus beaux visages ?";

il dit : "Car ils sont restés seuls avec Allah (à l'adorer), donc il leur a donné de sa lumière".
'Ata Al-khorassani a dit : "On disait : le fait de prier la nuit fait revivre le corps, illumine le cœur et la vue, donne de la force aux membres ; Et lorsque l'homme se lève pour prier la nuit, il se réveille le matin étant joyeux, ressentant la joie dans son cœur, et s'il dort et ne prie pas, il se réveille en étant triste comme s'il a perdu quelque chose, et il a effectivement perdu ce qui lui est le plus bénéfique".
Durant le dernier tiers de la nuit

dimanche 15 mai 2011

Salem ahlikom à tous ! voici une histoire touchante ke j ai souhaité partager avec vous

C'est l´histoire d´un petit élève en 3ème année de l´école primaire, imaginez donc son âge ... ?


Un jour, alors que l'enfant était en cours, son maître se mit à parler dela prière de Al-Fajr, de sa bienfaisance et de son importance en s'adressant de façon compréhensible pour des petits enfants.
L'enfant, ayant écouté son maître, fut très touché par ses paroles.
Il n'avait en fait jamais fait la prière, ni lui ni sa propre famille.


Quand cet enfant fut de retour à la maison, il se mit à réfléchir à la façon à laquelle il allait pouvoir se réveiller pour la prière du lendemain ...
Il ne trouva aucune solution si ce n'est de rester éveillé toute la nuit jusqu'à ce qu'arrive l'heure de la prière. 

Et effectivement il resta éveillé toute la nuit, et lorsqu'il entendit Al-Adhan*, cette fleur ( le garçon ) se prépara pour y aller mais un autre problème se présenta à lui ... 

La mosquée était très loin et il ne pouvait s'y rendre seul.

L'enfant pleura et s'assit devant la porte ... 
Soudain il entendit un bruit venant de la rue, ouvrit la porte, sortit et vit un vieil homme marcher en direction de la Mosquée. 

Il le reconnu, oui il le reconnu, c'était bien le grand père de Ahmed, leur voisin. 
L'enfant en profita alors pour suivre le vieil homme en cachette afin que celui-ci n'aille pas le rapporter à sa famille qui ne manquerait pas de le punir ensuite.

Depuis ce jour, l'enfant faisait tout le temps la même chose pour pouvoir aller prier...
Mais comme toute chose, il y eut une fin à cela. 

Le vieil homme (le grand père d'Ahmed) mourut...

L´enfant pleura et pleura fortement dès que la nouvelle lui vint.

Son père s'étonna que la perte de ce viel homme puisse faire autant de mal à son fils, il lui demanda alors: 
« Oh mon fils, pourquoi le pleures-tu de cette façon alors que ce n'était pas un enfant de ton âge avec qui tu jouais, ni un proche à toi pour qu'il puisse te manquer à la maison? ».

Le petit enfant regarda tristement son père avec des yeux larmoyant et repondit : 
« Si seulement tu avais pu mourir à sa place ! »

Le père fut choqué et se demanda pourquoi son fils lui avait dit cela de cette façon et pourquoi il aimait tant ce vieil homme.
Le petit enfant continua : 
« Il ne me manque pas pour les raisons que tu viens de citer.»
Le père fut étonné une fois de plus et demanda à son fils: 
« Quelle est la raison alors ? »
Le petit enfant répondit : « Pour la prière ... Oui pour la prière ... » 

Il continua avec ces paroles : « Papa, pourquoi ne prie-tu pas Al-Fajr ?
Papa, pourquoi n'es-tu pas comme le grand père d'Ahmed et comme tous les autres hommes que j'ai vu ? »
Le père lui demanda: « Où les as-tu vu ? ».
L´enfant répondit : « A la mosquée. »
Le père lui dit : « Comment ça? ».

Le petit garçon lui raconta alors son histoire.

Celle-ci bouleversa le père et le fit pleurer très longtemps. 

Il serra son petit enfant fort dans ses bras et depuis ce jour il ne rata plus jamais aucune prière à la mosquée ♥♥♥

téléchargé coran mp3

Khaled Al-Qahtani toutes les sourates
http://www.archive.org/download/TvQuran.com__Al-QahtaniZip/TvQuran.com__Al-Qahtani.zip

cheikh Abdullah Basfar
http://www.archive.org/download/TvQuran.com__BasfarZip/TvQuran.com__Basfar.zip


Abdulbasit Abdulsamad


http://www.archive.org/download/TvQuran.com__abdulbasitZip/TvQuran.com__abdulbasit.zip


si d'autre recitateurs vous intéressent dite les moi j'en rajouterai inchaAllah 

le Prophète(صلى الله عليه و سلم) à pleuré pour vous...

Un jour, proche de sa mort,le Prophète(صلى الله عليه و سلم)se mit à pleurer, et ses compagnons lui demandèrent : « Qu'est-ce qui te fait pleurer ya Rassoul'Allah?»Il répondit: « Mes frères me manquent !» On lui dit alors: «Ne sommes-nous pas tes frères? » Il dit: « Non! Vous êtes mes compagnons! Mes frères sont les gens qui viendront après moi, croiront en moi alors qu'ils ne m'auront jamais vu! » 

[Muslim]

Importance de l'étude de cette science

Importance de l'étude de cette science Cette science est absolument la plus importante pour tout Musulman, car c'est la science des croyances islamiques ( al­`aqâ'id al-islâmiyya ).  Or, les croyances islamiques sont les fondements et les bases ( al-ousoûl ) sur lesquelles reposent l'Islam : ses pratiques et ses législations. Les éléments du dogme sont les remparts indispensables pour protéger la foi du croyant des dangers du doute et des tourmentes de l'égarement et des tromperies. Il nous est souvent arrivé de constater différentes sortes de déviations dans la pensée et dans les attitudes des croyants, et il nous est apparu sans ambiguïté, que la mauvaise compréhension des principes de base de l'Islam et l'ignorance des éléments de la foi en sont les causes essentielles.  Seule une connaissance juste des principes fondamentaux, auxquels on doit obligatoirement croire et adhérer, permet de comprendre ce qui en découle comme prescriptions religieuses. C'est à partir de ce moment que l'on acquiert la capacité et l'aptitude à répondre à toutes les interrogations.  Ce sont justement ces questions de la foi, qui sont à l'origine des missions prophétiques. Les Messagers d'Allah les ont prêchés tout le long de l'histoire humaine en tant que principes et fondements essentiels et indispensables à toutes les questions de la religion qui suivront.  Allah - Exalté soit-Il - dit en effet :  « Nous n'avons envoyé avant toi aucun Messager sans lui inspirer qu'il n'y a d'autre dieu que Moi, adorez-Moi donc ! » Sourate 21, « Les prophètes », verset 25  Nous savons que pour toute bonne oeuvre accomplie par pur amour d'Allah - Exalté soit-Il - , son agrément, par Allah, dépend de la justesse de la foi de l'individu et de sa conformité aux éléments du dogme tels qu'ils sont explicités par cette science. Car toute déviation dans le dogme implique forcément la déviation de la foi, et la déviation de la foi est la mécréance même. Or, Allah - Exalté soit-Il -  n'agrée aucune oeuvre de la part d'un mécréant.   Allah - Exalté soit-Il -  dit :   « Celui d'entre vous qui apostasie sa religion et meurt en mécréance, ceux-là voient leurs oeuvres annihilées dans ce bàs-monde et dans l'autre. Ceux-là sont les gens du Feu où ils sont immortels. » Sourate 2, « La vache », verset 217
  Pour comprendre l'importance énorme de cette science, il suffit de savoir que toutes les questions qu'elle traite sont les questions décisives permettant de juger un homme croyant ou mécréant, pour le destiner au salut ou à la perte, à la félicité ou à la perdition.  Allah - Exalté soit-Il -  dit :   « Allah ne pardonne pas qu'on Lui attribue des associés et Il pardonne tout le reste à qui Il veut. Celui qui donne à Allah des associés a effectivement commis un péché énorme ! » Sourate 4, « Les femmes », verset 48  Allah - Exalté soit-Il -  dit aussi :  « Ceux des gens du Livre qui ont mécru ainsi que les associateurs sont dans le feu de l'Enfer où ils s'éterniseront. Ceux-là sont les plus mauvais de toute la Création. Ceux qui ont cru et accompli de bonnes ceuvres, ceux-là sont les meilleurs de toute la Création. Leur récompense auprès de leur Seigneur sont les jardins de l'Eden sous lesquels coulent les rivières et où ils s'éterniseront à jamais. Allah leur a accordé Sa satisfaction et ils Lui ont accordé la leur. Cela est pour celui qui aura craint son Seigneur ! » Sourate 98, « La Preuve », versets 6-8    Les sujets de cette science     Les sujets traités par cette science sont les suivants :  1. L'Entité d'Allah - Exalté soit-Il - afin de connaître tout ce que l'on doit obligatoirement Lui attribuer, ce dont on doit L'exempter et ce qui est permis de Lui attribuer.  2. Les Messagers - Que la Bénédiction et le Salut d'Allah soient sur eux tous -  afin de connaître ce qu'on doit obligatoirement leur attribuer, ce qu'on ne peut leur imputer et ce qui est possible d'affirmer à leur égard.  3. Le Monde invisible : ce sont ces vérités et connaissances auxquelles on ne peut parvenir, connaître et croire si ce n'est par la voie du Livre d'Allah - Exalté soit-Il -  : le Coran ou de la Sounna de Son Messager. Il s'agit par exemple des Livres d'Allah, de Ses Anges et de Ses Messagers, du Jour dernier, du Paradis, de l'Enfer, etc.  La définition des sujets de la croyance provient du Livre d'Allah et de la Sounna de Son Messager.  Allah - Exalté soit-Il -  dit :   « Le Messager d'Allah a cru à ce qui lui a été descendu de la part de son Seigneur, ainsi que les croyants. Tous ont cru en Allah, en Ses Messagers : « Nous ne faisons aucune différence entre aucun de Ses Messagers. » Ils dirent : « Nous avons entendu et nous avons obéi. Ton absolution, notre Seigneur ! C'est vers Toi la destinée. » Sourate 2, « La vache », verset 285   Allah - Exalté soit-Il -  dit :   « Nous avons créé toute chose selon une proportion prédéterminée. » Sourate 54, « La lune », verset 49  Allah - Exalté soit-Il -  dit aussi :     « Ceux qui croient à l'inconnu, pratiquent scrupuleusement la prière et dépensent de ce que Nous leur avons donné. Ceux qui croient à ce qui t'a été descendu (révélé) et à ce qui a été descendu avant toi et qui croient avec conviction à l'autre monde. Ceux-là sont sur une bonne voie de leur Seigneur et Maître, et ce sont ceux-là qui ont récolté le succès. » Sourate 2, « La vache », versets 3-5
  Dans un long hadîth, rapporté par al-Boukhârî et Mouslim, l'archange Gabriel - que la Paix soit sur lui - posa au Prophète - que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui -  plusieurs questions d'enseignement dont la suivante :  « ...Ô Mohammad ! informe­moi sur la foi. » Le Prophète lui répondit : « Que tu crois en Allah, en Ses Anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jour dernier et que tu croies au Destin pré-établi bon et mauvais. »  Ainsi tu comprends que les éléments de base de la foi sont : La croyance en Allah, en Ses Anges, en Ses Livres, en Ses Messagers, au Jour Ultime et au Destin avec ce qu'il contient de bien et de mal.     Définition des termes :l'Obligatoire (Al wajib ) ; L'impossible ( Al moustahil )et le possible ( Al Ja iz ).  Ces trois termes ont été cité plus haut, et, en vérité, visaient le nécessaire ou l'obligatoire  (Al wajib ) - L'impossible ( Al moustahil ) et le possible ou le permis ( Al Ja iz ) rationnels ( al-`aqlî ).  La définition exacte de chacun d'entre eux est primordiale dans l'étude de cette science, et dans la démonstration et la confirmation de ses diverses questions. Nous invitons nos chers lecteurs et lectrices à prendre plus amplement connaissance de ces termes en se rendant à la rubrique sur Les Fondements de la Jurisprudence Islamique ( Oussoul el Fiqh ).   Le nécessaire ou l'obligatoire rationnel (al-wâjib al-`aqlî ) :  On désigne par ce terme toute vérité et certitude qui s'impose à la raison, et ne peut concevoir l'inexistence. Il est de deux sortes :  Le nécessaire évident (daroûrî badîhî )
Le nécessaire théorique (daroûrî nadharî ) Le nécessaire évident (daroûrî badîhî )  C'est ce que tout individu est censé saisir  spontanément sans aucun effort intellectuel par son évidence à l'esprit. C'est, par exemple, que l'enfant est moins âgé que son père, que le chiffre un est moindre que le deux, que le deux est moindre que le trois, et ainsi de suite avec le reste des nombres.  Le nécessaire théorique (daroûrî nadharî )  Il s'agit de vérités que l'homme confirme suite à la réflexion et s'impose à la raison comme vérité théorique indiscutable ; comme la démonstration de la Pré-éternité (al-qidam ) d'Allah, Sa Pérennité (al-baqâ ),  Son Unicité (al-wahdâniyya)  ainsi que toutes Ses Attributs de perfection (sifât al-kamâl ) que l'on doit Lui  affirmer.
L'impossible rationnel (al-moustahîl al-`aqlï) :  Ce terme indique toute chose dont la raison ne peut concevoir l'existence, et il est de deux sortes à l'exemple du nécessaire :
  1. L'impossible évident (al-moustahîl al-badîhî ) : c'est cet impossible à concevoir que la raison saisie sans effort intellectuel ou recherche, comme le fait que  le père est moins âgé que son fils ou que le chiffre un est plus grand que deux !
2. L'impossible théorique (al-moustahîl an-nadharî ) : Il s'agit de vérités et de notions dont la raison confirme l'impossibilité (al-istihâla) qu'après une réflexion soutenue et une argumentation : par exemple, le fait qu'il est impossible qu'Allah soit plus qu'un, qu'Il soit créé ou qu'Il meurt, etc.  Le possible rationnel (al jâ'iz ou al-moumkin) :  C'est tout ce dont la raison conçoit l'existence, l'inexistence ou le non-être (al-`adam), la confirmation ou la négation en soi. C'est par exemple : la vie et la mort, la bonne santé et la maladie, la richesse et la pauvreté, etc.  On remarquera que nous avons attribué ces notions à la raison. Parce qu'en vérité, c'est la raison qui mène cette recherche et qui juge. Ses sentences sont la base sur laquelle se fondent les jugements et les résultats de toute réflexion. Dès lors, il n'y a pas de place, dans le dogme (musulman), ni au conformisme, ni à l'héritage des ancêtres, ni aux coutumes et traditions, ni aux passions ou aux désirs personnels. Il n'y a de place que pour l'esprit sain, libéré de toutes les formes de servitude et de frustration.  Certaines personnes peuvent mettre en cause ces affirmations parce que nous nous appuyons sur des versets du Livre d'Allah - Exalté soit-Il -  : « Comment, se demandent-ils, vous vous référez au Coran dans des questions dont vous aviez confiée à la raison la vérification et l'arbitrage ?! »  Nous disons : Nous nous appuyons sur le Livre d'Allah - Exalté soit-Il - , dans ce qu'Il nous propose de signes et de preuves, qui font réfléchir nos esprits et leur ouvrent les espaces de la recherche, de l'analyse et de l'échange de vues. Mais, le Coran, laisse à notre intellect la charge de tirer les conclusions et d'établir les sentences. Pour nous, le Livre d'Allah est cette lumière rayonnante qui nous permet d'atteindre la voie et d'en connaître les abords, les jalons et les points de repère.  Il suffit comme preuve, que ce Livre suit cette méthodologie quand il interpelle ceux qui lui tournent le dos.  Allah - Exalté soit-Il - dit à Son Messager :   
« Dis : « La vérité est là, émanant de votre Seigneur.
Y croira qui voudra et la reniera qui voudra. »
(Sourate 18, « La caverne », verset 29) 
« Rappelle car tu n'es là que pour rappeler.
Tu n'as nul pouvoir de les contraindre à la foi. »
(Sourate 88, « Celle qui enveloppe », versets 21-22)     A qui s'impose la connaissance d'Allah, de Sa Loi et de la croyance authentique ?   Cette connaissance est un devoir qui incombe à tout individu responsable (al-moukallaf). Le responsable est celui qui a atteint la puberté, qui est sensé, qui jouit de l'intégrité de ses sens et auquel est parvenu le Message d'Allah - Exalté soit-Il -.  Cette connaissance n'est pas un devoir pour l'enfant. Cependant son tuteur est tenu de l'initier aux principes de la religion, en tenant compte des capacités de perception de l'enfant et de ses aptitudes, afin qu'il grandisse dans la foi, conscient et vigilant, armé d'une croyance saine capable de le protéger, plus tard, de toute déviation.  La connaissance du dogme n'est pas non plus un devoir pour le fou, ni pour celui qui ne jouit pas à la fois de l'ouïe et de la vue, car il n'a ainsi aucun accès vers la connaissance. Mais si l'on trouve un moyen de transmission adéquat, il lui incombe d'acquérir cette connaissance.  De même cette connaissance n'incombe pas à ceux qui sont morts avant le début de la mission du Prophète - que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui -.  Il s'agit de personnes qui sont mortes à une époque où aucun Messager n'a été suscité, ou à une époque où un Messager a été spécialement envoyé pour un autre peuple. Seuls ceux qui ont été interpellés directement en sont responsables. A partir du moment où un Messager leur a été envoyé, il y a eu réception.  Les autres sont considérés comme excusables. Il en est de même de ceux à qui l'on a envoyé un Messager dont l'appel ne leur est pas pour autant parvenu. Le verset suivant appuie cette version.  Allah - Exalté soit-Il -  dit :  
« Nous ne soumettons jamais au supplice (un peuple)
avant d'envoyer auparavant un Messager. »
(Sourate 17, « La voyage nocturne », verset 15)      Les limites de la connaissance saine    La connaissance saine, grâce à laquelle on acquiert une foi ferme et authentique, c'est la perception rationnelle, sûre et certaine, des choses (des éléments de la foi) conformément à leur vérité et réalité.  Toute connaissance hésitante, engendrant une foi fondée sur le doute, l'illusion et les conjectures, est rejetée. La foi se fonde sur la certitude et les résolutions fermes. Celui qui n'a pas cette qualité ne peut prétendre à la foi !  De même, n'a pas la foi celui qui embrasse un dogme non conforme à la Vérité et Réalité (rationnelles), telle que la croyance en la prééternité de l'univers, ou la pluralité d'Allah - Exalté soit-Il - ou la négation de la Résurrection et du Jour ultime.  Cependant, on considère croyant rebelle celui qui reconnaît Allah - Exalté soit-Il -  et est convaincu de Son existence et de Ses Attributs, mais qui ne détient aucune preuve quant à l'Existence d'Allah, alors qu'il est capable de réflexion et de saisir les preuves prouvant Son Existence, ne serait-ce que d'une façon globale ! Il suffit qu'il y réponde, en disant tout simplement :  « L'existence de cet univers complexe prouve l'existence d'Allah ! »  La recherche d'une preuve globale est un devoir individuel (fard `ayn) pour tous les responsables (moukallaf). Quant à l'acquisition de preuves détaillées, ce n'est un devoir que pour certains d'entre eux. Il s'agit de spécialisation qui nécessite la délégation de cette tâche à des personnes compétentes capables de défendre la religion et la croyance. C'est donc un devoir appelé devoir collectif (fard kifâya) dont est déchargé la communauté, si un groupe suffisant parmi ses membres l'assume.  Certains savants pensent que la foi du conformiste (celui qui croit sans preuve globale ou détaillée) est acceptable et valable s'il en résulte une conviction ferme, de façon qu'il ne connaisse plus ni l'hésitation, ni t'apostasie, et que même l'ébranlement de la foi de celui qui lui servait de modèle, ne pourra la remettre en cause. Ces théologiens confirment cet avis en se référant au Prophète - que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui -  qui acceptait la déclaration de foi des gens sans leur demander les preuves sur lesquelles ils fondaient leur foi.  Plusieurs hadîth authentiques l'affirment.    Signification des termes : Al Imân et al Islâm     Il est important de comprendre le sens du terme « al-îmân » (la foi) et du terme « al-Islâm » (la soumission) , et de cerner la relation entre eux.  Al-îmân (la foi) consiste à croire fermement en tout ce que le Prophète Mohammad a apporté de la part de Son Seigneur, dont l'authenticité a été confirmée sûre et certaine, et que l'on sait, sans nul doute, que cela fait obligatoirement partie de la religion : telle que la foi en Allah - Exalté soit-Il - , en Ses Anges, Ses Livres, Ses Messagers, au Jour Ultime et au Destin bon ou mauvais.   C'est aussi croire au caractère obligatoire de la prière, de la zakât, du jeûne et du pèlerinage. C'est l'interdiction de porter atteinte injustement à la vie humaine (ordre formel d'Allah- Exalté soit-Il - ), de commettre l'adultère, de pratiquer l'usure, etc.   La foi, dans ce sens, réside dans le coeur.   Quant à al-islâm , telle que nous allons l'exposer dans ce qui suit, il lui est strictement lié. Al-islâm c'est la résignation et la soumission de l'âme. C'est la quiétude et l'apaisement du coeur, face à tout ce que le Prophète - que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui -  a apporté comme religion et dont on a la preuve irréfutable qu'il en a été le transmetteur.   C'est-à-dire qu'on a nullement besoin d'un supplément de preuves pour authentifier l'origine à cause de sa large notoriété parmi les Musulmans.   Il est à remarquer qu' al-islâm  selon ce sens, est un état de l'âme et du coeur aussi bien que la foi (al-îmân) . La différence entre eux, c'est que la foi est l'assentiment ferme en tout ce qui a été cité, tandis que la soumission (al-islâm) est l'acceptation du coeur et l'absence totale de toute forme de rejet à l'encontre de tout ce qu'Allah - Exalté soit-Il -  a légiféré, et confirmé comme tel d'une façon certaine.   Il arrive, que l'on croie en l'existence d'une chose sans toutefois l'accepter ! C'est ce que nous avons constaté dans les attitudes de certaines personnes ! Combien de fois avons-nous entendu quelqu'un dire : « Je crois bien que l'Islam a prescrit la prière et la zakât mais je ne suis pas convaincu de leur caractère obligatoire et des sages raisons qui s'y attachent ! »   C'est justement cette opposition qui fait de lui un non-Musulman, c'est-à-dire l'absence de la soumission de son coeur. Cela nous fait même douter de sa foi car, s'il avait cru en Allah, en Sa Sagesse, en Sa Science et en Sa Miséricorde, il se serait soumis de lui-même et aurait accepté tout ce qu'Allah - Exalté soit-Il -  a agréé.   Aussi disons nous que la foi sincère se traduit nécessairement par al-islâm dans le sens que nous venons d'indiquer.   Reste l'application des législations islamiques tels que la pratique de la prière, l'acquittement de la zakât et l'accomplissement de toutes les autres obligations et l'abstention de tous les interdits d'Allah - Exalté soit-Il - . Doit-on absolument s'y conformer et les accomplir pour être Musulman, ou est-ce que la simple adhésion suffit pour que l'on donne à quelqu'un le nom de musulman ?   Les théologiens musulmans se sont divisés en deux tendances face à cette question.   l. L'avis de la majorité des savants (al joumhoûr) cette tendance estime que l'exécution et la mise en pratique des prescriptions ne sont ni une condition ni un élément de base pour que l'on accorde à quelqu'un le titre de musulman.   Cette personne est musulmane, mais perverse et rebelle : elle est en état de péché. Elle encoure la sanction pénale, que l'Islam a légiféré pour réprimander et éduquer ceux qui délaissent les prescriptions divines, ou s'adonnent à des actes condamnables. Le devenir, dans l'Au-delà, de ce pervers dévoyé, revient à Allah seul, s'Il veut lui pardonner ou le châtier pour son crime. Cependant son devenir éternel sera le Paradis, à condition qu'il meurt dans la foi (al-îmân) et dans la soumission (al-islâm) .   Cette doctrine est celle confessée par les Sunnites.   Allah - Exalté soit-Il - dit :    « Allah ne pardonne pas qu'on Lui associe quoi que ce soit
et pardonne tout le reste à qui Il veut. »
(Sourate 4, « Les femmes », verset 116)   2. L'avis de certains érudits qui pensent que l'exécution des prescriptions de l'Islam et la mise en pratique de ses instructions de base est une condition nécessaire pour confirmer ou infirmer l'appartenance à l'Islam.  Selon ce concept l'Islam est un tout englobant à la fois l'aspect externe et apparent de l'homme et son aspect intérieur.  Car le fait de se résigner et d'accepter les choses au nom de la religion est un fait concernant la partie interne de l'homme. Quant à la soumission aux arrêts de la religion, c'est une action apparente.  On déduit, dès lors, qu' al-islâm (soumission entière à Allah) a un sens plus général qu' al-îmân (la foi) . La foi a un domaine plus particulier. La foi est uniquement interne tandis que la soumission est à la fois interne et externe.
Nous jugeons, quant à nous, les gens comme musulmans dès qu'ils se soumettent dans leurs comportements et attitudes externes aux arrêts d'Allah - Exalté soit-Il - sans leur opposer aucun refus. Cela veut dire que leurs actes, leurs paroles et leurs comportements ne dénotent aucun refus des arrêts divins. Pour ce qui est de leur conviction interne, seul Allah en est informé, Lui l'Omniscient, à qui aucune chose cachée n'échappe.  C'est pour cette raison qu'Allah - Exalté soit-Il - a voué au scandale des gens qui avaient affiché leur soumission (al-islâm) tout en restant mécréants au fond de leur âme. Allah - Exalté soit-Il -  a dit à leur sujet :   « Les Bédouins ont dit : « Nous avons cru. » Dis :« Vous n'avez jamais cru, mais dites : « Nous nous sommes (apparemment) soumis à Allah », car la foi n'a pas encore habité vos coeurs... » (Sourate 49, « Les appartements », verset 14)    Conclusion : Maintenant que sont saisis le sens de la foi (al-îmân) et de la soumission à Allah (al-islâm) on comprend qu'il y a selon l'esprit de la loi islamique une concomitance entre la foi et la soumission qui fait que tout Musulman est croyant et que tout croyant est musulman. En effet, celui qui croit au Messager - que la Paix et le Salut d'Allah soient sur lui -  de la sorte, ne peut absolument qu'être soumis aux directives qu'il a apportées. Une telle soumission n'émane que d'un croyant convaincu avec certitude, comme nous l'avons exposé !  C'est pourquoi le Coran cite la foi et la soumission avec la même signification dans le verset suivant :   Allah - Exalté soit-Il -  dit :  
 
« Nous en fîmes sortir ce qu.'il y avait comme croyants.
Nous n'y trouvâmes qu'un seul foyer de Musulmans. »
(Sourate 51 , « Qui dispersent », versets 35-36)       Statut de la proclamation des deux attestations     La profession de foi consiste à proclamer oralement : « Il n'y a de dieu qu'Allah et Mohammad est le Messager d'Allah ». lâ ilâha illâ Allah Muhammadun rasûlu Llâhi   Prononcer cette formule est une condition indispensable pour appliquer au Musulman toutes les qualifications légales se rapportant à la gestion de sa vie terrestre. Ainsi, il peut contracter  mariage avec une Musulmane, présider l'office de la prière. Il a droit à la prière des morts et d'être enterré dans les cimetières musulmans. Si pour une excuse valable, il ne peut pas prononcer cette profession de foi (s'il est par exemple muet), ou s'il n'a pas pu la prononcer parce qu'il est mort juste après avoir cru avec son coeur, il a mérité le salut auprès d'Allah - Exalté soit-Il - . Mais, s'il avait la possibilité de la prononcer et qu'il disposait de temps suffisant pour le faire et que, malgré cela, il ne l'a pas fait par pur entêtement, cela est de la mécréance et on ne tient pas compte de son credo intérieur. Mais, s'il a agi ainsi par crainte pour sa vie, sa foi est valable puisque Allah - Exalté soit-Il -  a dit à ce sujet :  
« ...sauf celui qui a été contraint tandis que son coeur
est plein de la sérénité de la foi. »
(Sourate 16, « Les abeilles », verset 106)
Quant à celui qui, parmi les convertis, n'a pas prononcé la profession de foi sans qu'il y ait de raison, mais qui croit fermement, en son for intérieur et est confiant dans la religion d'Allah et dans ses directives, l'avis des théologiens le plus accrédité est qu'il trouvera son salut auprès d'Allah - Exalté soit-Il -  ; même si on ne lui accorde pas le statut de Musulman dans ce monde d'ici-bas, parce qu'on ne dispose d'aucun élément prouvant sa conversion !  Quant aux enfants nés de parents croyants, ils sont eux-mêmes croyants même s'ils n'ont jamais prononcé la profession de foi, sauf s'il apparaît dans leurs actes et attitude une incompatibilité avec la foi. 
   Exposé de certains comportements et attitudes incompatible avec la Foi, et l'invalidant :     La Loi islamique a mis en garde contre les choses qui ne concordent pas avec la foi, et qu'elle a jugé suffisantes pour excommunier celui qui s'y adonne. Exemples : le fait de se prosterner volontairement devant une idole ; de dénigrer la religion, ses sources, ses dogmes et ses législations tels que le Saint Coran, la Sounna du Messager, la foi en Allah et en Ses Messagers ; de mettre. en cause des prescriptions légales et des interdits d'Allah ou des obligations cultuelles (comme la prière et le pèlerinage) ; le fait d'injurier l'une de ces choses, de prononcer des propos mécréants et autres choses pareilles ; tout cela, et tout ce qui lui ressemble, est de la mécréance. C'est ainsi qu'on qualifie de mécréant celui qui traite de mensonge l'une des références parfaitement authentifiées de la législation islamique, comme les versets du Coran et les hadîth de réputation indiscutable ou celui qui s'est permis une chose dont l'interdiction est confirmée et repose sur une preuve irréfutable comme le crime, l'adultère et le vol. Tout cela met en cause la foi et la soumission exigée pour que l'on soit qualifié de croyant et de musulman.

Bismillah Ar Rahmani Ar Rahim As Salam Alaykoum wa Rahma Allah wa Barakatouhou

Bismillah Ar Rahmani Ar Rahim As Salam Alaykoum wa Rahma Allah wa Barakatouhou
 Le Rappel ne peut être que Bénéfique pour le Croyant 

Car Allah Soubhanahou wa ta3ala dit:
"Et rappelle; car le rappel profite aux croyants. "[Sourate 51, Verset 55]
 
C'est à travers ces quelques lignes que je souhaite rappeler à moi même en premier ainsi qu'à toi que nous n'avons pas été créer sur cette terre sans but, sans objectif de manière inutile pour nous amuser, passer le temps, pour être libre d'agir à notre guise sans avoir à subir un jugement et à rendre des comptes le jour du jugement dernier devant Allah Le Sublime.

Nous avons plutôt été créer pour une chose qui est noble, qui est d'une haute dignité, une chose qui est sublime à savoir:
Nous avons été créer pour connaître Allah Soubhanahou wa ta3ala, pour connaître notre Créateur, Le Maître de cet univers. Et ce en déployant vraiment toute notre énergie dans son adoration et en faisant le maximum d'efforts pour être soumis à Allah ta3ala et tout cela avec une SINCERITE, une BIENFAISANCE et bien evidement avec LA SCIENCE ("Al 3ilm" que beaucoup de gens néglige).
 
Allah dit:
"Pensiez-vous que Nous vous avions créés sans but, et que vous ne seriez pas ramenés vers Nous?"[Sourate 23, Verset 115]
 
Est-ce que l'homme croit-il qu'il serait laisser à l'abandon sans obligation, agir comme il le souhaite?
Evidement la réponse est NON !
Allah dit: "Je n'ai créé les djinns et les hommes que pour qu'ils M'adorent."[Sourate 51, Verset 56]
 
Ensuite aprés cette étape par laquelle tout le monde doit passer, l'étape qui est l'étape de cette vie:
Qu'on soit grand, petit, homme, femme, vieux, jeunes,qu'on ai de l'argent ou pas, qu'on soit gouverneur ou gouverné, pauvre ou riche. 
 
Tout le monde doit passer cette étape qu'on le veuille ou non.
Beaucoup de personnes sont insouciantes, inconscientes par rapport à cette mort, à ce passage de ce bas-monde à l'au-delà. 
Cette vie est comparable à un voyage et dans un voyage il y a un but, une destination...

C'est ainsi sur cette terre, tu secoues la personne en lui disant:
" Ya akhy Taqillah (ô mon frère crains Allah), Ya oukhty Taqillah (ô ma soeur crains Allah) 
Reveille toi, Qu'est-ce que tu fais? Tu n'es pas ici pour jouer ! Ne perd pas ton temps !
Et la personne nous répond:
" Laisse moi ! je fais comme tout le monde : on vit, c'est la vie ici !! "
SoubhannAllah ! Comme si nous avions été créer pour rester éternel et certains vont même jusqu'à renier le fait qu'il y ai quelque chose aprés cette mort.

Allah dit:
" Voilà ceux qui échangent la vie présente contre le vie future. Eh bien, leur châtiment ne sera pas diminué. Et ils ne seront point secourus. "[ Sourate 2, Verset 86]

C'est ainsi dans cette dounia (bas monde): La personne court à gauche, à droite... 
Il ne se soucie pas, il est inconscient, insouciant et le temps passe. Et il a 20 ans, 30 ans, 50 ans, 60 ans et hop... c'est la fin. 
L'ange de la mort qui vient sans prevenir. Cette personne voit à ce moment là les anges autour de lui, il voit Al-haqq (La vérité) et il dit:
" Oh! c'était vrai ! c'était vrai!, si seulement je pouvais retourner en arrière"
Et non, il ne pourra pas retourner en arrière parce qu'il a été inconscient, insouciant par rapport au fait qu'il va rencontrer le Maître de cet univers, Le Créateur, Celui qui voit et entend tout, Celui vers qui se fera le retour, Le Roi du jugement dernier, Celui qui possède Le paradis et L'enfer entre Ses mains.
Rien que de penser à ca l'individu doit réflechir et se remettre en question.

Allah dit:
"Ou bien penses-tu que la plupart d'entre eux entendent ou comprennent? Ils ne sont en vérité comparables qu'à des bestiaux. Ou pluòtôt, ils sont plus égarés encore du sentier. "[Sourate 25, Verset 44]

Ils sont encore plus égarés que les animaux, l'animal n'a pas de raison mais toi l'être humain tu prétends être intelligent et avoir une raison.
Tu as une raison mais tu ne l'utilises pas.

Et les meilleurs exemples appartiennent à Allah Soubhanahou wa ta3ala :

Allah dit:
" Qui est donc mieux guidé? Celui qui marche face contre terre ou celui qui marche redressé sur un chemin droit. "[ Sourate 67, Verset 22]

Inconscient, insouciant, on dirait SoubhannAllah qu'il marche face contre terre sans savoir et sans chercher à savoir ce qui va se passer pour eux dans l'avenir!
Ils sont inconscients parce qu'ils ont préferé suivre Satan (3alayhi narlatou Allah), insouciants parce qu'ils ont preferé suivre les passions, les envies (chahawates), les plaisirs futiles de ce bas monde. 

Allah dit:
" Ceux-là ne pensent-ils pas qu'ils seront ressuscités, en un jour terrible"
[Sourate 83, Verset 4-5]

La fin de ce parcours (l'étape de la vie): l'étape de l'examen puis l'étape du jugement dernier et le dernier stade c'est la demeure éternelle:
Pour certains ce sera Le paradis éternellement (l'endroit qu'Allah à reservé pour les obéissants et ceux qui l'ont adoré et qui ont été soumis à lui Le Tout Puissant)
Et puis l'autre demeure, c'est L'enfer (Qu'Allah nous en preserve) qui est reservé aux gens qui ont été orgueilleux, insouciants et qui n'ont pas adoré Allah Soubhannou wa ta3ala

Allah dit: 
"Ils dirent: ‹Malheur à nous! Nous étions vraiment injustes"
[ Sourate 21, Verset 14]

Voilà pour ce qui était d'un bref rappel pour moi ainsi que pour toi.
 
Qu'Allah nous aide à faire ce qui Lui plaît, et qu'Il nous donne une compréhension claire de la religion et raffermisse notre pratique

Allah ! Nous nous plaçons sous Ta protection contre un savoir inutile, contre un cœur insoumis, contre une âme insatisfaite, contre un œil qui ne pleure pas et contre une invocation inexaucée.

Et je demande exclusivement à Allah de nous accorder, ainsi qu'à tous les musulmans, tout ce qu'Il agrée, qu'Il nous gratifie de la Science religieuse et de sa mise en pratique, qu'Il nous protège des tentations d'égarement et des incitations du démon. Il en est Le Seul Capable et Il est parfaitement Capable.

Et que la prière et le salut d'Allah soient sur notre Prophète, Muhammad, sa famille, tous ses Compagnons et tous ceux qui le suivent de la meilleure manière jusqu'au jour de la Résurrection.