au coeur de ton dine

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pleure mes péchés et jm'inquiète de comment jvais mourir Jm'incline et m'prosterne car jsais qu'un jour j'devrais partir Jm'attache à la Verité dans mon coeur règne l'Islam Et j'remercie chaque jour le Tout Puissant de m'avoir faite musulmane

dimanche 15 mai 2011

Une famille de Médine avait un chameau sur lequel ils chargeaient de l'eau

D'après Anas Ibn Malik (qu'Allah l'agrée), une famille de Médine avait un chameau sur lequel ils chargeaient de l'eau. Le chameau est alors devenu difficile et leur refusait son dos. Alors cette famille se rendit vers le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) et ils lui ont dit: Nous avons un chameau avec lequel nous transportons l'eau mais il est devenu difficile et nous refuse son dos alors que nos plantations ont besoin d'eau. Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) dit à ses compagnons: «Levez vous». Alors ils se sont levés et son rentrés dans la palmeraie. Le chameau était dans un coin de la palmeraie, le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) marcha dans sa direction. Les propriétaires du chameau dirent au Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) : oh messager d'Allah nous avons peur pour toi, il est devenu comme le chien enragé. Le Prophète dit: «Il ne me fera pas de mal». Lorsque le chameau a regardé le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) il s'est tourné vers lui et s'est prosterné devant lui. Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) lui a pris l'avant de la tête et a fait de lui la bête la plus docile qui soit jusqu'à ce qu'il reprenne le travail. Alors les compagnons ont dit au Prophète (bénédiction et salut soient sur lui): Oh messager d'Allah, ceci est une bête qui n'est pas dotée de raison et elle se prosterne devant toi, donc nous qui sommes dotés de raison devons aussi nous prosterner devant toi. Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) dit: «Il ne convient pas à un être humain de se prosterner devant un autre être humain. Si il avait été correcte qu'un être humain se prosterne devant un autre j'aurais ordonné à la femme de se prosterner devant son mari en raison de son immense droit sur elle. Si il avait une blessure allant de son pied jusqu'en haut de sa tête de laquelle coule du pus et lèche ce qui sort de sa blessure elle ne lui aurait pas donné son droit».
(Rapporté par Ahmed et Nasai et authentifié par cheikh Albani dans Sahih Al Jami n°7725)

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